Je me suis rendu à Rome du 26 au 29 juillet, à l’invitation du Parti Radical Transnational, pour intervenir dans une conférence au Sénat italien sur les droits humains pour la transition vers l’Etat de droit et l’affirmation du droit à la connaissance. Le Parti se réunissait au lendemain de la conférence pour débattre des suites à donner à ce débat sur le droit de savoir.
Ci-dessous quelques-uns des clichés pris pendant ces trois jours de débats…
Marco Pannella, Matteo Angioli, Marou Amadou, Bakhtiar Amin, Marco Beltrandi
Marco Pannella et Bakhtiar Amin, ancien ministre pour les droits de l’homme en Irak
Michel Rocard et Laurent Mayet lors de ce déjeuner de travail. On envisage les suites à donner à nos travaux en prévision de la publication de la feuille de route française sur l’Arctique, la préparation de la feuille de route de l’Union européenne sur le même sujet et la tenue de la COP 21 à Paris en fin d’année…
Dans la salle de la Commission de La Défense du Senat italien…
Palazzio Madame, le siège du Senat italien
Début du deuxième panel consacré à la transition vers l’Etat de droit. Au premier plan Benedetto della Vedova, secrétaire d’Etat aux affaires étrangères italien et vieux compagnon du Parti radical transnational.
Siège du Partito Radicale, via di Torre Argentina. Avec Jamal Ali Jassim Busassan, député du Bahreïn, Matteo Angioli et Sergio d’Elia
Dr Yang Jianli, activiste démocrate chinois. Arrêté après Tienanmen, il a passé 5 ans en prison avant d’être libéré sous la pression internationale. Il préside actuellement « initiatives for China », mouvement en faveur d’une transition pacifique et démocratique en Chine.
Cour intérieure du Sénat italien
Ultime réunion au siège du Partito Radicale pour étudier les suites à donner à notre appel international à la reconnaissance du droit de savoir comme droit humain universel.